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Tu manges vivant ou juste rempli ?

  • Photo du rédacteur: Zieba Coaching
    Zieba Coaching
  • 11 mai
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 13 mai

Il fait tout bien. Et pourtant, il rame.


Tu le vois au stade. Il s’entraîne dur, il est régulier, il fait gaffe à ce qu’il mange.

Poulet-riz-légumes. Pas trop de sauce. Pas de sucre.

Il mange bio, équilibré, protéiné.


Mais t’as l’impression qu’il tourne au ralenti.

Il fait tout bien, mais y’a pas de feu.


Il finit ses repas et il a envie de s’allonger.

Il récupère lentement. Il est “propre”, mais pas vivant.


Ce qu’on t’a appris à faire, c’est remplir ton estomac. Pas nourrir ta vitalité.


Depuis petit, on te parle de calories, de protéines, de ratios.

Tu fais attention aux macros. Tu lis les étiquettes. Tu fais le job.


Mais est-ce que tu t’es déjà demandé : Est-ce que ce que je mange est encore vivant ?


Pas “sain”. Pas “light”. Pas “protéiné”.


Vivant. C’est-à-dire : cueilli récemment, non dénaturé, vibrant, structuré, chargé en énergie. Capable de pourrir, de germer, de s’oxyder naturellement.


Un aliment vivant nourrit tes cellules. Un aliment mort t’occupe l’estomac.


Comment tu sais que tu manges mort ?

  • Fringale 2h après le repas

  • Lourdeur, envie de sieste

  • Digestion lente, flatulences

  • Sommeil léger, bouche sèche au réveil

  • Fatigue nerveuse malgré des bons apports théoriques


Ton assiette est “propre”, mais ton feu intérieur est éteint.

Parce que tu nourris ton corps comme une machine.

Alors qu’il attend un courant, une vibration, une information.


Manger vivant, c’est pas extrême. C’est originel.


Avant les frigos, les fours et les micro-ondes, on mangeait cru, cueilli, vivant.


On respectait la structure naturelle de l’aliment.

On ne mangeait pas un truc cuit, refroidi, stocké, réchauffé trois fois et transporté pendant dix jours.Et nos cellules, elles, n’ont pas évolué.


Elles attendent encore ce contact direct avec la vraie vie.

Tu veux avancer ? Commence par remettre de la vie dans ton assiette.


  • Une part crue à chaque repas

  • Des aliments qui moisissent s’ils traînent trop- Des couleurs, des textures, des formes non standardisées

  • Moins de réchauffé, plus de frais

  • Moins de “sans sucre” ou “riche en protéines”, plus de vivant


Pose-toi une question simple : ce que je mange, est-ce que je le ressens comme vivant ?

Chez Zieba Coaching


On te dit pas quoi manger.

On te fait reconnecter à ce qui t’active. Ce qui te rend vif. Ce qui fait que ton entraînement sert à quelque chose.


Tu veux pas juste bien manger.

Tu veux reconstruire de la puissance.

Et pour ça, faut pas juste remplir.

Faut rallumer.

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