Ce que tu ne peux pas consommer, ne le mets pas sur ta peau

On fait attention à ce qu’on mange.

On cherche des aliments vivants, bruts, non transformés.

On surveille les étiquettes, on veut du bio, du naturel.

Mais dès qu’il s’agit de la peau…on applique tout et n’importe quoi.

Crème solaire pleine de filtres chimiques, crème “anti-âge” ultra transformée, gel douche ultra-parfumé…

Et sur les enfants, c’est parfois encore pire :

Lingettes, talcs, shampoings “spécial bébé” avec des ingrédients qu’on refuserait dans une assiette.

La règle est simple : Si tu ne peux pas consommer un produit, ne le mets pas sur ta peau. Et encore moins sur celle d’un enfant.

La peau n’est pas un mur

C’est une interface vivante.

Elle absorbe.

Elle réagit.

Elle transmet.

Des études montrent que certains composants cosmétique se retrouvent dans le sang quelques minutes après application.

Parmi les plus toxiques :

• Les filtres solaires chimiques (perturbateurs endocriniens)

• Les parfums de synthèse

• Les conservateurs (parabènes, phénoxyéthanol…)

• Les PEG, silicones, huiles minérales

Les enfants sont encore plus exposés

Ils n’ont pas encore une barrière cutanée mature.

Leur peau est fine, fragile, ultra perméable.

Ce qu’on met dessus entre vite, fort, profond.

Revenir au simple

• Huiles végétales brutes : coco, olive, calendula

• Savons saponifiés à froid

• Crème solaire minérale, sans nanoparticules

• Aloe vera pur

Un corps n’a pas besoin de 10 produits.Il a besoin de cohérence.

Moins de chimie. Plus de bon sens.

Et une seule question à garder en tête :

“Est-ce que je mettrais ça dans ma bouche ?” Si non…Alors pourquoi sur ma peau ?